Pourvu qu’elle soit douze

Pour changer un peu de sa vie souvent banale et poussive, l’internaute moyen profite de ce que la technologie lui offre pour répandre partout et sans élégance des voeux qu’on sait tous moitié mensongers moitié hypocrites.

Ici vous ne trouverez rien de plus que l’expression sincère d’un amour véritable. Celui que nous avons pour la street-culture et ses modes d’expression. Musique, graphisme, vidéo, illustration, nous aimons tout partager avec vous et ne comptons pas nous arrêter là.

Pour appuyer ce propos et affirmer notre activité sur le terrain (marseillais ou plus lointain), des évènements sont à venir, et en plus des différents concepts de soirées que vous connaissez déjà nous prenons en 2012 la direction des charts avec la création du label associé à notre collectif.

Prémisse des choses à venir, le premier maxi de l’inénarrable Turban d’Amour. Vous le trouverez gratuitement ci dessous, ne nous remerciez pas. Deux edits effrontés et plein d’une élégance ne se regardant pas le nombril. Frais dites-vous? Pas sur que vous le restiez longtemps sur le dancefloor à l’écoute de ces deux bombes discoïdes.

Pour le reste (et bien sur pour la communion sous la discoball), deux rendez-vous ce mois ci.

L’un au Baby le samedi 7, avec le poulain Dotboy, le pétillant Lematt et votre dévoué Patron Anticlimax.

C’est la Rave d’Amour numéro IV, c’est gratuit et c’est comme toujours l’assurance d’une franche rigolade composée de musiques du futur sur lit de références technoides.

Le baby se situe rue Poggioli, dans le décadent quartier de la Plaine à Marseille.

L’évènement facebook: http://www.facebook.com/events/273411106050077/

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Dans un autre esprit, la pocket party que nous vous proposons au Polikarpov le 27 janvier.

Un live et un dj, c’est la règle. Des gens un peu foufous qui dansent les bras en l’air sont nécessaires aussi mais là c’est plus de votre ressort que du nôtre. Experts en déconne validée, spécialistes en electropop décalée et/ou inspirée, les Bermuda Plastik ont le second degré qui manque parfois aux soirées marseillaises. Vous m’avez compris? On se voit là bas.